Voici une belle image qui représente le voyage astral conscient.
Ce blog est consacré à la planète Hercolubus (Planète X), aux prophéties qui parlent de l'arrivée de cette planète, à l'avertissement d'un danger qui vient de l'espace et à l'aide indispensable des extraterrestres pour aider ceux qui travaillent sur eux-mêmes. Dans cet article je parlerai du voyage astral conscient.
Le voyage astral conscient est indispensable pour nous guider nous-même. Je vous mets à continuation deux exemples qui apparaissent dans le livre "Oui il y a l'Enfer, oui il y a le Diable, oui il y a le Karma", du Maître Samael Aun Weor. Dans l'un des exemples on voit une des techniques remarquables qui nous permettent de vérifier que nous sommes dans le monde astral : "Dehors, dans le jardin, je fis un petit saut, un peu long, avec l'intention de flotter dans l'ambiance environnante ; grand fut mon étonnement, quand je vérifiais par moi-même que je me trouvais réellement hors du corps physique. Je compris alors que j'étais en astral", c'est-à-dire, quand l'auteur a flotté dans l'ambiance environnante.
Vous trouverez les techniques du voyage astral conscient bien développées dans le livre "Hercolubus ou Planète Rouge", du V. M. Rabolú, que vous pouvez demander gratuitement aux sites web de l'Association Alcione (par exemple : http://astral-projection.info/fr/) et aussi écouter les mantras pour le voyage astral conscient prononcés par le même auteur du livre.
Exemples contenus dans Oui il y a l'Enfer, oui il y a le Diable, oui il y a le Karma, du Maître Samael Aun Weor.
Au moment où je parle de ceci avec vous, me viennent à la mémoire deux cas particuliers que je vais relater :
1 Une nuit parmi tant d'autres, j'entrais par la porte d'une magnifique demeure ; silencieux, je traversais un très beau jardin, et arrivais dans une salle fastueuse. Mu par une impulsion intérieure j'allais un peu plus loin et pénétrais audacieusement dans le bureau d'un avocat.
Devant le bureau, je trouvais une dame assise, de stature moyenne avec des cheveux blancs, un visage pâle, des lèvres minces et le nez camard.
C'était une dame d'aspect respectable. Son corps n'était ni très mince, ni très gros. Son regard semblait mélancolique et serein.
La dame, d'une voix douce et paisible, m'invita à prendre une chaise devant le bureau. A ce moment-là, il arriva quelque chose d'insolite : j'avisais, sur le bureau, deux papillons de verre qui étaient dotés d'une vie propre, ils bougeaient leurs ailes, respiraient, regardaient, etc.
Le cas m'apparaissait assurément très exotique et rare. Deux papillons de verre et avec une vie propre ?
Habitué comme je l'étais à diviser mon attention en trois parties, premièrement je ne m'oubliais pas moi-même ; deuxièmement, je ne m'identifiais pas avec les papillons de verre ; troisièmement, j'observais soigneusement le lieu.
En regardant ces animaux de verre, je me dis en moi-même : ceci ne peut pas être un phénomène du monde physique, parce que jamais, dans la région tridimensionnelle d'Euclide, je n'ai eu connaissance de papillons de verre dotés de vie. Indiscutablement, ceci peut être un phénomène du monde Astral.
Je regardais ensuite autour de moi et me posais les questions suivantes : Pourquoi suis-je en ce lieu ? Pourquoi suis-je venu ici ? Qu'est-ce que je fais ici ?
M'adressant ensuite à la dame, je lui parlais ainsi :
« Madame, permettez-moi de sortir un moment dans le jardin, je reviendrais ensuite ». La dame me donna son assentiment d'un mouvement de tête et j'abandonnais le bureau quelques instants.
Dehors, dans le jardin, je fis un petit saut, un peu long, avec l'intention de flotter dans l'ambiance environnante ; grand fut mon étonnement, quand je vérifiais par moi-même que je me trouvais réellement hors du corps physique. Je compris alors que j'étais en astral.
Photogramme obtenu à partir de la vidéo sur le voyage astral conscient de l'Association Alcione : http://astral-projection.info/fr/
Je me rappelais à ce moment qu'il y avait longtemps, quelques heures, j'avais abandonné mon corps physique et que celui-ci, indiscutablement, se reposait maintenant dans son lit.
Cette singulière preuve faite, je revins dans le bureau où la dame m'attendait. Je voulus alors la convaincre qu'elle était hors de son corps physique :
« Madame, lui dis-je, vous et moi, sommes hors du corps physique, je veux que vous vous rappeliez qu'il y a quelques heures, vous vous êtes couchée dans votre lit, et maintenant, vous vous trouvez ici, parlant avec moi, hors de votre corps physique, car on sait que lorsque le corps dort, la conscience, l'Essence, prise malheureusement dans l'Ego, va hors du véhicule corporel ».
Toutes ces paroles ayant été dites, la dame me regarda avec des yeux de somnambule, mais ne comprit pas ; je compris que la dame avait la conscience endormie. Ne voulant pas insister plus longtemps, je la saluais et abandonnais ce lieu.
2 Je me rendis ensuite en Californie, afin de réaliser certaines investigations très importantes. En chemin, je rencontrais un désincarné qui, pendant sa vie, avait été chargeur de baluchons pesants sur les marchés publics : le malheureux portant sur ses épaules un énorme fardeau, paraissait souffrir l'indicible. M'approchant du défunt, je lui dis :
« Mon ami, que vous arrive-t-il ? Pourquoi portez-vous sur vos épaules endolories un fardeau si lourd ? ».
Le malheureux, me regardant avec des yeux de somnambule, me répondit :
« Je suis en train de travailler ». J'insistais : « mais monsieur, vous êtes mort il y a un certain temps, cette charge que vous portez sur vos épaules n'est rien d'autre qu'une forme mentale, abandonnez cela ! ».
Tout fut inutile, le pauvre mort ne m'entendit pas ; il avait la conscience trop endormie. Voulant l'aider, je flottais autour de lui dans le milieu ambiant, dans l'intention de l'alarmer, de lui faire comprendre que quelque chose de rare était en train d'arriver dans son existence, de lui faire savoir de quelque manière qu'il était mort, etc., etc., mais tout fut inutile.
Plus tard, ces investigations de rigueur ayant été faites, je revins à mon véhicule physique qui dormait dans le lit.
Le voyage astral conscient nous ouvre la porte vers un autre monde.
Ce blog est consacré à la planète Hercolubus (Planète X), aux prophéties qui parlent de l'arrivée de cette planète, à l'avertissement d'un danger qui vient de l'espace et à l'aide indispensable des extraterrestres pour aider ceux qui travaillent sur eux-mêmes. Dans cet article je parlerai du voyage astral conscient.
Le voyage astral conscient est indispensable pour nous guider nous-même. Je vous mets à continuation deux exemples qui apparaissent dans le livre "Oui il y a l'Enfer, oui il y a le Diable, oui il y a le Karma", du Maître Samael Aun Weor. Dans l'un des exemples on voit une des techniques remarquables qui nous permettent de vérifier que nous sommes dans le monde astral : "Dehors, dans le jardin, je fis un petit saut, un peu long, avec l'intention de flotter dans l'ambiance environnante ; grand fut mon étonnement, quand je vérifiais par moi-même que je me trouvais réellement hors du corps physique. Je compris alors que j'étais en astral", c'est-à-dire, quand l'auteur a flotté dans l'ambiance environnante.
Vous trouverez les techniques du voyage astral conscient bien développées dans le livre "Hercolubus ou Planète Rouge", du V. M. Rabolú, que vous pouvez demander gratuitement aux sites web de l'Association Alcione (par exemple : http://astral-projection.info/fr/) et aussi écouter les mantras pour le voyage astral conscient prononcés par le même auteur du livre.
Exemples contenus dans Oui il y a l'Enfer, oui il y a le Diable, oui il y a le Karma, du Maître Samael Aun Weor.
Au moment où je parle de ceci avec vous, me viennent à la mémoire deux cas particuliers que je vais relater :
1 Une nuit parmi tant d'autres, j'entrais par la porte d'une magnifique demeure ; silencieux, je traversais un très beau jardin, et arrivais dans une salle fastueuse. Mu par une impulsion intérieure j'allais un peu plus loin et pénétrais audacieusement dans le bureau d'un avocat.
Devant le bureau, je trouvais une dame assise, de stature moyenne avec des cheveux blancs, un visage pâle, des lèvres minces et le nez camard.
C'était une dame d'aspect respectable. Son corps n'était ni très mince, ni très gros. Son regard semblait mélancolique et serein.
La dame, d'une voix douce et paisible, m'invita à prendre une chaise devant le bureau. A ce moment-là, il arriva quelque chose d'insolite : j'avisais, sur le bureau, deux papillons de verre qui étaient dotés d'une vie propre, ils bougeaient leurs ailes, respiraient, regardaient, etc.
Le cas m'apparaissait assurément très exotique et rare. Deux papillons de verre et avec une vie propre ?
Habitué comme je l'étais à diviser mon attention en trois parties, premièrement je ne m'oubliais pas moi-même ; deuxièmement, je ne m'identifiais pas avec les papillons de verre ; troisièmement, j'observais soigneusement le lieu.
En regardant ces animaux de verre, je me dis en moi-même : ceci ne peut pas être un phénomène du monde physique, parce que jamais, dans la région tridimensionnelle d'Euclide, je n'ai eu connaissance de papillons de verre dotés de vie. Indiscutablement, ceci peut être un phénomène du monde Astral.
Je regardais ensuite autour de moi et me posais les questions suivantes : Pourquoi suis-je en ce lieu ? Pourquoi suis-je venu ici ? Qu'est-ce que je fais ici ?
M'adressant ensuite à la dame, je lui parlais ainsi :
« Madame, permettez-moi de sortir un moment dans le jardin, je reviendrais ensuite ». La dame me donna son assentiment d'un mouvement de tête et j'abandonnais le bureau quelques instants.
Dehors, dans le jardin, je fis un petit saut, un peu long, avec l'intention de flotter dans l'ambiance environnante ; grand fut mon étonnement, quand je vérifiais par moi-même que je me trouvais réellement hors du corps physique. Je compris alors que j'étais en astral.
Photogramme obtenu à partir de la vidéo sur le voyage astral conscient de l'Association Alcione : http://astral-projection.info/fr/
Je me rappelais à ce moment qu'il y avait longtemps, quelques heures, j'avais abandonné mon corps physique et que celui-ci, indiscutablement, se reposait maintenant dans son lit.
Cette singulière preuve faite, je revins dans le bureau où la dame m'attendait. Je voulus alors la convaincre qu'elle était hors de son corps physique :
« Madame, lui dis-je, vous et moi, sommes hors du corps physique, je veux que vous vous rappeliez qu'il y a quelques heures, vous vous êtes couchée dans votre lit, et maintenant, vous vous trouvez ici, parlant avec moi, hors de votre corps physique, car on sait que lorsque le corps dort, la conscience, l'Essence, prise malheureusement dans l'Ego, va hors du véhicule corporel ».
Toutes ces paroles ayant été dites, la dame me regarda avec des yeux de somnambule, mais ne comprit pas ; je compris que la dame avait la conscience endormie. Ne voulant pas insister plus longtemps, je la saluais et abandonnais ce lieu.
2 Je me rendis ensuite en Californie, afin de réaliser certaines investigations très importantes. En chemin, je rencontrais un désincarné qui, pendant sa vie, avait été chargeur de baluchons pesants sur les marchés publics : le malheureux portant sur ses épaules un énorme fardeau, paraissait souffrir l'indicible. M'approchant du défunt, je lui dis :
« Mon ami, que vous arrive-t-il ? Pourquoi portez-vous sur vos épaules endolories un fardeau si lourd ? ».
Le malheureux, me regardant avec des yeux de somnambule, me répondit :
« Je suis en train de travailler ». J'insistais : « mais monsieur, vous êtes mort il y a un certain temps, cette charge que vous portez sur vos épaules n'est rien d'autre qu'une forme mentale, abandonnez cela ! ».
Tout fut inutile, le pauvre mort ne m'entendit pas ; il avait la conscience trop endormie. Voulant l'aider, je flottais autour de lui dans le milieu ambiant, dans l'intention de l'alarmer, de lui faire comprendre que quelque chose de rare était en train d'arriver dans son existence, de lui faire savoir de quelque manière qu'il était mort, etc., etc., mais tout fut inutile.
Plus tard, ces investigations de rigueur ayant été faites, je revins à mon véhicule physique qui dormait dans le lit.
Le voyage astral conscient nous ouvre la porte vers un autre monde.